Sport ou pas sport lorsqu’on est malade ? Comment se préserver des maladies de l’hiver quand on sort de la leçon de danse en sueur ? À ces propos, il y a plusieurs écoles. Alors, chez Body Langage, votre boutique d’articles de danse, nous avons tenté de faire le point.

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Comment ne pas tomber malade cet hiver ?
Quintes de toux, reniflements et mouchages bruyants viennent vous chatouiller les oreilles ? Vous avez de grandes chances d’être à votre tour contaminé si vous ne faites rien pour vous en prémunir. Body Langage vous donne quelques conseils pour danser tout l’hiver sans tomber malade.
Bien comprendre son ennemi pour l’éradiquer plus facilement
Chaque hiver, c’est la même rengaine ; rhume, grippe, gastro-entérite et autres virus débarquent fatalement. Le froid joue un rôle important dans leur recrudescence. Toutefois, il ne suffit pas de vous couvrir plus chaudement pour ne pas être contaminé·e. Si vous êtes plus souvent malade en fin d’année, ce n’est pas parce que votre organisme est épuisé à force de lutter contre le froid. En effet, l’efficacité de votre système immunitaire est sensiblement du même niveau toute l’année. Le problème se situe plutôt au niveau du comportement des virus dans un milieu chaud ou froid. Les études menées en laboratoire nous apprennent que la plupart des virus ne peuvent pas survivre longtemps sans hôte, en revanche, les germes résistent bien plus longtemps dans l’air froid et humide. L’hiver est ainsi la saison idéale pour chopper une bonne infection.
Les bons gestes pendant votre sport
Par conséquent, il n’est pas nécessaire d’effectuer vos entraînements dans une tenue de danse plus chaude. Au contraire, en choisissant des vêtements plus épais vous risquez de transpirer et de favoriser la contamination. Échauffez-vous avec des bottines de chauffe, des guêtres ou des jambières de danse puis retirez petit à petit quelques couches de tissus. Marquez aussi plusieurs temps de pause pendant vos exercices pour sécher correctement votre peau avec une serviette.
Les bons gestes au quotidien
Pendant cette période hivernale, d’autres gestes doivent devenir des automatismes. Par exemple, se laver les mains plusieurs fois dans la journée et ne pas toucher trop souvent son visage limite grandement les risques de contamination. Enfin, veillez à manger sainement et dormir tôt pour stimuler vos défenses immunitaires.
Baisse de tonus : direction le bain nordique
Si pour la plupart d’entre nous, le froid et les journées plus courtes font partie du charme « péri-Noël », cela ne manque pas de filer un coup de massue à l’organisme.
Comment cela se manifeste-t-il ? C’est assez simple. On a tendance à se sentir plus fatigué sans pour autant avoir modifié ses habitudes. On est aussi plus sensible au stress et aux coups de déprime. C’est votre cas ? Pas de panique. Ce genre de maux accompagnent couramment les changements de saison et de climat. Chez Body Langage nous avons pensé à un rituel bien-être pour vous, danseurs et danseuses percluses de douleurs à la sortie de vos cours de danse et de cette année. À tester : le bain nordique !

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Bain nordique, quèsaco ?
Tout droit venue de la culture scandinave, la pratique du bain nordique gagne tranquillement l’Europe et la France. On appelle aussi cela le spa finlandais ou encore la thermothérapie. Il s’agit d’alterner le chaud et le froid en plusieurs étapes, de façon à détendre corps et esprit. Notez que ceci n’est pas une nouvelle mode. On le pratique – au moins le bain public et le sauna – depuis plusieurs millénaires en Finlande, par exemple. Dans les pays nordiques, l’accès y est plus facile puisqu’après s’être réchauffé dans un sauna, on a qu’à se glisser dans un des nombreux lacs à proximité. D’ailleurs, là-bas, on ne considère pas ça comme un luxe, mais plutôt comme une nécessité. Alors pas de honte à avoir. Hop, dans l’eau !
On file donc dans un bain à remous, un sauna ou encore hammam pendant une dizaine de minutes. La température du corps grimpe en flèche, les muscles se relâchent, les pores de la peau se dilatent et l’esprit flotte… À l’issue de cette première séance de relaxation, on se plonge dans l’eau glacée (au moins froide) pendant une poignée de secondes, puis on récupère dix à quinze minutes dans une atmosphère calme et tempérée. Les spécialistes de la balnéothérapie conseillent de répéter l’opération deux à trois fois dans la foulée.

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Bain nordique : quels bienfaits ?
Bien entendu, on pense à votre bien-être à tous, et particulièrement à celui de nos sportifs et sportives en chaussons de danse en écrivant ces lignes. Pour continuer de batifoler en demi-pointes, autant être en forme. Notez que la balnéothérapie, de manière générale, était déjà très prisée des Grecs et des Romains durant l’Antiquité. Ces derniers avaient bien cerné les bienfaits physiques et mentaux qu’on peut en tirer.
Le principe de la thermothérapie, c’est de faire subir des variations de température au corps. On le met en hyperthermie, en hypothermie puis au repos.
- Lorsque la température du corps grimpe, les vaisseaux sanguins ainsi que les pores de la peau se dilatent, les muscles se décontractent, le cœur accélère sa cadence et le corps transpire.
- Le froid, quant à lui, resserre les pores après que les toxines s’en soient échappées, et engendre la rétractation des vaisseaux, donc une meilleure circulation du sang.
- Le repos de l’organisme après le fameux rituel permet au corps d’enregistrer ce coup de boost.
Pratiqué une à deux fois par semaine, le bain nordique a un réel effet positif sur le nettoyage et l’élasticité de la peau, le relâchement des tensions musculaires ainsi que sur la fatigue mentale.
Les spécialistes ne déconseillent ce soin qu’aux femmes enceintes et aux personnes souffrant d’hypertension, de diabète ou de soucis cardiaques. À ceux qui ont eu la chance de profiter d’un bain nordique, venez donc nous en parler sur Facebook !
Des solutions anti-rhume
Nez qui coule et voix enrouée, cela suffit à dire qu’on a attrapé froid. Or un rhume, c’est un ensemble de paramètres finement dosés qui laissent le champ libre à un virus. On accuse souvent le seul froid, qui n’est qu’un des rouages en cause.
Affaibli par le chaud-froid
Pour commencer, il faut prendre en compte le dérèglement qu’on impose au corps en passant de la salle de danse surchauffée à l’extérieur froid (et l’inverse en été). Malmené, l’organisme va entrer en résistance, alors qu’il n’a en réalité pas concrètement d’ennemi à abattre. Et cela le fragilise. La meilleure parade à cela, c’est de s’emmitoufler quand on va dehors, particulièrement après un cours de danse dont on sort échauffé·e et humide. Munissez-vous de vêtements de danse secs pour rentrer chez vous.
Porte ouverte au virus
On oublie souvent, à force d’appeler ça un refroidissement, que le rhume est dû à un virus. Fort heureusement, le corps ne succombera pas à la simple baisse de température, mais un virus peut en tirer avantage. Il attend son heure patiemment : quand les températures baissent et que l’air s’assèche, la muqueuse nasale est irritée, on observe une vasoconstriction dans la zone. Le terrain est ainsi propice au virus : l’inflammation rend la muqueuse perméable aux miasmes et l’afflux amoindri de sang limite celui des globules blancs, qui sont alors insuffisant pour stopper l’invasion. Enfin, pour couronner le tout, on a tendance à rester enfermés quand il fait froid, avec des personnes potentiellement porteuses, et on sera moins enclins à aérer. Tout ceci, vous l’aurez compris, fait le jeu du virus.
Dehors les virus !
On devine plus facilement les moyens de se défendre, à commencer par ne plus avoir peur d’ouvrir les fenêtres pour changer d’air régulièrement dans la journée. On peut même manger des glaces en hiver, cela ne vous exposera pas plus au rhume. En revanche, on garde les sources potentielles loin de soi (et on reste éloigné·e des autres si l’on se sent malade). Mieux encore, on couvre son visage dans les lieux confinés pour éviter de propager et/ou d’être infecté·e par des sécrétions.

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Quand danser rime avec confort et bien-être
Pour vous, la danse est une passion, une évidence, votre façon de vous exprimer et de vous sentir bien. Body Langage vous accompagne chaque jour dans votre passion en vous proposant des tenues de danse qui vous feront vous sentir bien.
Bien s’équiper pour mieux danser !
Comme pour toute sportive et sportif, qu’il soit enfant ou adulte, il est important de s’équiper correctement. Body Langage sait à quel point le confort est essentiel pour un danseur ou une danseuse, c’est pourquoi nous proposons une large gamme de tenues de danse sélectionnées avec le plus grand soin. Aujourd’hui, nous avons plus particulièrement envie de vous parler des vêtements de danse pour l’échauffement.
L’échauffement, une pratique de grande importance avant un effort physique
L’échauffement permet dans un premier temps d’élever la température du corps, d’améliorer les performances et de prévenir les blessures. Lors de l’échauffement, il est important pour le danseur ou la danseuse d’être équipée d’une tenue de danse adéquat. Le vêtement de danse indispensable et quasiment obligatoire pour une danseuse classique est le cache-cœur.
Le cache-cœur se porte uniquement lors de l’échauffement et surtout pendant les périodes hivernales étant donné qu’il est confectionné avec un tissu épais. Son rôle principal est d’optimiser le confort de la danseuse en lui procurant de la chaleur.
En plus d’apporter de la chaleur à la sportive, le cache-cœur est une tenue de danse qui lui apporte une touche d’esthétisme et de grâce. Nous savons que chaque danseur/danseuse est unique, c’est pour cette raison que Body Langage saura vous satisfaire par sa grande variété de vêtements de danse.
Pour vous procurer un modèle de cache-cœur esthétique et de qualité à la fois, Body Langage vous accueille dans sa boutique située au 8 boulevard Raimbaldi à Nice et en ligne.
Le mal est fait, vous avez un rhume

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Exsuder les miasmes ou préserver son système immunitaire ?
Quand commence la fameuse période qui joue joyeusement avec les températures, il est parfois difficile de se vêtir de manière adéquate. On a beau enfiler son pantalon par-dessus son justaucorps de danse pour l’échauffement, et se changer immédiatement après l’effort, il arrive tout de même qu’on choppe un rhume carabiné. Dans ces cas-là, il y a ceux qui soutiennent que malgré la fièvre, il faut transpirer à fond afin d’éliminer les microbes et de booster nos défenses immunitaires. Ce sont les accros aux hormones stimulées par le sport qui tiennent ce langage. Puis il y a ceux qui, justement, sont devenus raisonnables parce qu’ils souhaitent recouvrer une santé au top au plus vite.
Dans quels cas doit-on privilégier le repos ?
Faites le « test du cou ». Si votre gêne ne se situe qu’au-dessus de celui-ci, vous pouvez envisager le sport. D’ailleurs, en début de rhume, cela peut être une bonne idée car ouvrir les voies respiratoires aide à expulser les microbes. Mais ça ne vaut que si l’on a juste le nez qui coule ou bouché, et un petit mal de gorge. En revanche, si vous êtes congestionné en dessous du cou, que vous vous sentez fiévreux, que vous avez des courbatures ou des maux de ventre, restez au chaud et soignez-vous !
Ayez à l’esprit que votre corps utilise beaucoup d’énergie pour combattre la maladie et vous remettre sur pieds. Si vous le sollicitez encore plus, votre guérison sera au mieux plus lente, et vous serez plus fatigué. Mais l’effort, la transpiration et les coups de froid éventuels peuvent aussi aggraver votre infection. Si vous pratiquez un sport collectif, pensez à vos camarades que vous éviterez de contaminer en restant au lit et en vous chouchoutant un peu.
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